Chichén Itzá, Valladolid, Tulum et Bacalar… (ou du cochon ?)

Pour rejoindre Chichén Itzá depuis Mérida, 2h00 suffisent à notre minibus (pour si peu, on ne prend pas le gros bus, et en plus le prix du billet aussi est moins gros !).

Le bus nous dépose à l’entrée du site archéologique, du coup on négocie un taxi pour nous ramener à notre hôtel (et oui, on était passé devant sans s’arrêter).

Là, autant des fois la “qualité” des hôtels laisse à désirer (bon, quand c’est quinze euros la nuit c’est un peu normal aussi), autant là l’hôtel de “La Casa de las Lunas” est une excellente pioche !

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Campeche, Merida et Uxmal.

De bonne heure (et de bonne humeur) nous quittons Palenque par le bus de 8h30 qui nous dépose 6hoo après (donc sur les coups de 14h30, ne vous fatiguez pas à compter) à Campeche. Uber étant visiblement absent de cette ville de 220 000 habitants, nous négocions un taxi pour nous emmener à notre hébergement, qui s’avère être un AirBnb (pas clair la distinction sur Booking).

Campeche, étant alors le plus important port du Yucatan, fut fortifiée au XVIIème siècle pour la protéger des attaques des pirates. Elle est inscrite sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco.

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Chez le Sous-Commandant !

Après un agréable périple de 11h30 en bus de nuit, nous posons nos sacs à roulettes à San Cristobal de Las Casas, au cœur du Chiapas, sur les coups de 8h00 du matin (qui a dit qu’on ne se levait jamais à l’aube ?).

Le Chiapas c’est la région où est né le mouvement Zapatiste, dont le plus célèbre représentant est connu sous le nom de Sous-Commandant Marcos.

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Oaxaca et Monte Albán.

Quittant Puebla à l’aube par le bus de 11h45, nous arrivons 5hoo plus tard dans la ville d’Oaxaca (prononcer Ouaraca), peuplée d’environ 300 000 habitants (les Oaxaqueños ?).

Jolie ville à l’héritage colonial, avec ses façades colorées, Oaxaca de Juárez (de son nom complet) est agréable à parcourir, car c’est plat !

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Frida, Léon, Coyoacán et Puebla…

Le trajet entre notre logement et le terminal de bus de Guanajuato s’étant miraculeusement déroulé sans incident (le chauffeur Uber faisant passer sa voiture d’abord dans des ruelles grossièrement pavées tellement pentues que je ne m’y serais jamais risqué, puis dans les fameux tunnels vite oppressants), nous prenons le bus direct qui nous emmène en 5h00 à Mexico.

Le lendemain nous partons donc à Coyoacán, ville ayant été “mangée” par la métropole de Mexico, où se situe le Museo Frida Kahlo.

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Guanajuato, donc.

Bon, on vous avait promis un article sur Guanajuato quand la flemme nous aurait lâchée. Je ne suis pas sûr que ce soit le cas, mais depuis Querétaro on a fait de la route et vu plein de choses, du coup on est carrément en retard sur le récit qu’on vous fait de nos vacances.

Donc Guanajuato (prononcer Gwanaroito) ville de 194 500 habitants nichée à 2045 mètres d’altitude, ça ressemble à ça :

Guanajuato vue d’ensemble.
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Querétaro, que hermosa ciudad colonial !

Quittant la très bruyante et trépidante Mexico, nous prenons le car vers le nord où, à environ 220 km, nous attend Querétaro (façon de parler, personne ne nous guettait à la descente du bus !).

Nous prenons un Uber (oui, on n’aime pas trop ça, mais on aime encore moins les taxis, alors…) et nous voilà au centre de cette belle ville coloniale d’un million d’habitants.

Querétaro.
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Mexiiiiiicooooo !

Une aventure mexicaine
Sous le soleil de Mexico
Ça dure à peine une semaine
Mais quelle semaine
Et quel crescendo

Luis Mariano

Après un vol moins long d’une heure que prévu (le pilote devait avoir un rendez-vous urgent), nous arrivons bon pied bon œil à l’aéroport de Mexico. Le temps de passer l’immigration, de récupérer les bagages, de retirer des sous, de sauter dans un taxi et nous arrivons à notre hôtel. Ouf ! Dodo….

Le lendemain, nous partons prendre connaissance de CDMX comme ils disent (pour Ciudad de Mexico). Pour ça, le truc sympa c’est le bus à touristes (et à impériale décapotable) qu’ont croise dans toutes les grandes villes.

Ça permet de repérer les endroits à voir ultérieurement tout en bullant au soleil, cheveux au vent.

L’inconvénient c’est qu’on attrape vite un teint d’anglais en vacances vu qu’on est en plein soleil et qu’on ne le sent pas à cause du vent.

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