Qu’est-ce que c’est que ce bruit ???
A vous de jouer et de deviner… pochette surprise pour le gagnant!
Qu’est-ce que c’est que ce bruit ???
A vous de jouer et de deviner… pochette surprise pour le gagnant!
Ou par monts et par vaux… ici on parlera plutôt de montagnes tant le paysage des Andes est pentu, vallonné, volcanique (et des fois en éruption !)… en 1 mot : Magnifique !
Mais peu de photos car il est très difficile de photographier à partir d’un bus et les images “écrasent” le paysage… du coup on vous présente seulement les 2 villes où on s’est arrêtés quelques jours avant de traverser vers le Pérou dimanche.
Baños, “bains” en espagnol, petite ville entourée de montagnes et sous le volcan Tungurahua (dont l’éruption avait provoqué l’évacuation des habitants en 1999) est réputée pour ces thermes
Alors j’en profite pour faire une spéciale dédicace à mes copines de gym et d’aquagym ainsi qu’aux coatches Simon, Baptiste et Thomas… et oui, en vacances je fais aussi du sport !
Bon d’accord, l’eau est jaunâtre ( je ne voyais pas mes pieds) et ça manque de chlore ! Mais elle est très riche en magnésium et bicarbonate de fer (ce qui explique la couleur) et surtout elle est à …40° ! Elle sort directement du volcan et arrive dans le bassin à cette température, dans celui d’à côté elle est à 45°. On a alterné : eau très chaude, douche d’eau froide, eau un peu moins brûlante… c’est bien, ça raffermit les chairs ! Admirez au passage cette élégance avec la charlotte sur la tête… j’ai regretté mon bonnet de bain rose…
On s’et aussi offert une petite gourmandise avec la spécialité du coin : la melcocha, fabriquée à partir de jus de canne, ça donne des bâtonnets comme des “Niniches” ou des sucres d’orge.
Nous avons poursuivi notre route en bus jusqu’à la sympathique ville de Cuenca, la 3ème en terme de taille d’Equateur, et certainement la plus jolie. Sauf que, pas de chance, les nuages et quelques petites averses ne nous ont pas permis de la voir sous son meilleur jour…
La nouvelle cathédrale qui a été terminée en 1967 et le principal parc de la ville juste devant… on est encore tombés sur un défilé, sans le président cette fois-ci, mais je vous épargne le visionnage de mon petit film avec la fanfare militaire, on aura d’autres occasions dans nos prochains pays d’Amérique du Sud…
Et quand je vous disais que c’était sportif les vacances…
Et pour finir, un peu de couleurs sous un rayon de soleil au marché aux fleurs.
Et en route vers d’autres contrées…
Allez, Topette !
On vient vous donner quelques nouvelles avant de s’envoler mercredi pour les îles Galápagos…
Samedi on est donc allé de bonne heure et de bonne humeur, au petit matin, visiter le marché le plus réputé d’Equateur.
On n’a pas pu résister… on a commencé par les bêtes !Y’en avait de toutes les couleurs et ça couinait !
Les petits étaient vraiment plus sages, même qu’on craignait un peu l’insolation pour eux…
Des petits cuy cuy… tout mimis
Tout pour préparer le repas du dimanche…
Ou alors à manger sur place, ce que nous avons fait… même pas peur des normes sanitaires équatoriennes !
Images volées de ce jour de marché à Otavalo…
Deux hommes discutent…
… pendant que les femmes attendent le bus…
… et que bébé patiente en cuisine !
PS spécial pour les brodeuses / tricoteuses / bricoleuses… Hélas c’est tout ce que je ne vous rapporterai pas !
Allez, Topette !
Tout d’abord un petit rappel de l’épisode précédent ou nous avions été accueillis en grandes pompes par notre nouvel ami Rafaël Correa soi-même (pour ceux qui ne suivent pas la politique sud-américaine, il s’agit du président Equatorien).
Voici donc son portrait pour pouvoir essayer de le reconnaître sur son balcon :Pourquoi Est-ce qu’on vous parle du président nous direz-vous ? Parce qu’aujourd’hui nous avons profité d’un de ses grands projets mis en place l’an dernier : la rénovation de la ligne de chemin de fer qui relie Ibarra (ou nous sommes depuis hier), paisible ville du nord de l’Equateur, à Salinas, très petite bourgade endormie sous le soleil.
Ce train touristique, appelé le train de la liberté (El Tren de la Libertad) traverse les magnifiques paysages andins sur trente kilomètres à la fantastique vitesse de 20 km/h. Il est composé d’une motrice, de deux wagons de marchandises et de deux wagons de voyageurs anciens (les wagons pas les voyageurs), dont un en bois.
Ce fut l’occasion de découvrir la campagne et les montagnes équatoriennes avec l’aide de deux jeunes guides (par l’intermédiaire d’un savant dosage trilingue espagnol-anglais-nimportequoi). Nous savons tout dorénavant sur la culture de la canne à sucre et sur l’extraction du sel terrestre.
Pour mieux vous faire partager cette épopée ferroviaire, la team de Topette ! ne reculant devant aucune prouesse technique, poste ici la première vidéo de son voyage.
Attention les yeux, ça peut donner le vertige !
Voilà pour aujourd’hui, la suite au prochain épisode.
Allez, Topette !
Nous voici bien arrivés en Equateur après 22 h de voyage, d’Angers à l’hôtel la Casa Tolena à Quito ! Et l’hôtel est un peu moins cossu que sur les photos (bon on s’en doutait !) mais il nous convient tout à fait et le personnel est charmant (surtout face à l’incompétence linguistique de la seule hispanisante de la team !… mais j’ai 3 mois pour me rattraper !).
Nous avons profité de notre première matinée pour visiter Quito. Nous y sommes allés doucement tant les pentes sont rudes (et le poids des ans lourd à porter !) et l’altitude élevée. En effet Quito se situe à 2850m, ce qui en fait la seconde capitale la plus élevée au monde après La Paz en Bolivie que nous retrouverons plus tard dans notre périple.
Quelques photos sous le soleil de cette paisible capitale.Et en plus le président de la République d’Equateur était de sortie sur son balcon rien que pour nous (ou presque) et nous avons attrapés les premiers coups de soleil (d’une certainement longue série) au son de la fanfare militaire !
Merci à tous de nous avoir souhaité bon voyage et nous espérons que vous continuerez à trouver du plaisir à suivre nos modestes aventures sur ce blog dont la fréquence de mise à jour fluctuera en fonction de la qualité des connexions internet (on pleure déjà la fibre de Numéricable !).
Allez, Topette !
Martine, d’un tempérament assez inquiet concernant ses conditions de couchage, souhaitait réserver la première nuit lors de l’arrivée à Quito (capitale de l’Equateur pour ceux qui manquent un peu de culture géographique) et première étape de notre grand voyage (pour ceux qui n’ont toujours pas été voir notre itinéraire là).
Il faut reconnaître qu’une arrivée prévue (si tout va bien) à 17h55 après deux vols d’une durée totale de 13h15, plus le temps de récupérer les bagages et de faire le trajet aéroport-centre ville ça nous faisait débuter la recherche d’un gite vers les 21H00, sachant que sous ces latitudes la nuit est tombée à 18H00. Pas sûr qu’on soit dans les meilleures conditions pour comparer et négocier !
Cédant donc devant ces arguments imparables (ma bonté d’âme me perdra !), nous voilà à la recherche d’un lit pour cette première escale. Après avoir longtemps cru loger à l’Hostal Familiar Rincon, nous avons au dernier moment choisi le riant Hostal La Casa Toleña (j’aime beaucoup le ñ, ça fait vacances je trouve) dont voici l’adresse : Chile E4 – 13 y Vicente Leon, Quito, ECUADOR.
Si vous passez dans le coin entre le 11 et le 14 mai 2014 on vous offre une téquila au bar du coin. Pour les handicapés de l’orientation qui s’assument en achetant un GPS les coordonnées sont : -0.22314849706283996, -78.50584790110588 (dans Google Maps ça marche bien aussi).
Moi, je suis une bille en orientation, j’ai pas de GPS, je fais jamais demi-tour et pourtant je vais faire le tour du monde, même pas peur ! (Trop facile, c’est toujours tout droit !).
Allez, Topette !