Tout d’abord un petit retour sur « l’affaire du passeport volé et retrouvé ».
Dans l’affaire, à part quelques billets (une trentaine de dollars), il n’y avait pas de mal mais il manquait quand même le petit formulaire qu’on remplit dans l’avion (celui dont on ne comprend jamais trop quelles sont les questions posées et qu’on gribouille n’importe comment).
Le gentil monsieur de l’ambassade nous apprend donc qu’il s’agit d’un «Movimiento Migratorio », que celui-ci sera indispensable pour sortir du pays et qu’il n’y a pas de problème mais une solution : en demander un autre à la « Direccion Nacional de Migration »
Un taxi plus tard nous voilà rendu. Et là, miracle, nous sommes en terrain connu : un ticket à l’entrée, attente de l’appel de celui-ci sur l’écran pour connaitre le guichet, fonctionnaire qui nous dit des choses qu’on ne comprend pas, signature en bas d’une page, coup de tampon, passage à la caisse ($5,merci), remise d’un document et voilà c’est fini !
Exactement comme en France !
(Au passage on remarquera que le bout de papier qu’on a sagouiner dans l’avion a été saisi informatiquement et qu’en conséquence sa remise sous forme physique à la frontière semble assez superflue.)
Conclusion : j’aime beaucoup l’universalité de la fonction publique, ça a quelque chose de rassurant je trouve, pas vous ?
Autrement ISABELA, la plus grande des îles GALAPAGOS, n’est pas coupée du monde comme on le croyait, internet est aussi arrivé là !
Seul le sud est habité, il y a une superbe plage de 3 kms et quand il fait beau (et très chaud) ce qui est le cas depuis 3 jours, ça ressemble à çà :
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