Le trajet entre notre logement et le terminal de bus de Guanajuato s’étant miraculeusement déroulé sans incident (le chauffeur Uber faisant passer sa voiture d’abord dans des ruelles grossièrement pavées tellement pentues que je ne m’y serais jamais risqué, puis dans les fameux tunnels vite oppressants), nous prenons le bus direct qui nous emmène en 5h00 à Mexico.
Le lendemain nous partons donc à Coyoacán, ville ayant été “mangée” par la métropole de Mexico, où se situe le Museo Frida Kahlo.
Bon, on vous avait promis un article sur Guanajuato quand la flemme nous aurait lâchée. Je ne suis pas sûr que ce soit le cas, mais depuis Querétaro on a fait de la route et vu plein de choses, du coup on est carrément en retard sur le récit qu’on vous fait de nos vacances.
Donc Guanajuato (prononcer Gwanaroito) ville de 194 500 habitants nichée à 2045 mètres d’altitude, ça ressemble à ça :
Quittant la très bruyante et trépidante Mexico, nous prenons le car vers le nord où, à environ 220 km, nous attend Querétaro (façon de parler, personne ne nous guettait à la descente du bus !).
Nous prenons un Uber (oui, on n’aime pas trop ça, mais on aime encore moins les taxis, alors…) et nous voilà au centre de cette belle ville coloniale d’un million d’habitants.
Une aventure mexicaine Sous le soleil de Mexico Ça dure à peine une semaine Mais quelle semaine Et quel crescendo
Luis Mariano
Après un vol moins long d’une heure que prévu (le pilote devait avoir un rendez-vous urgent), nous arrivons bon pied bon œil à l’aéroport de Mexico. Le temps de passer l’immigration, de récupérer les bagages, de retirer des sous, de sauter dans un taxi et nous arrivons à notre hôtel. Ouf ! Dodo….
Le lendemain, nous partons prendre connaissance de CDMX comme ils disent (pour Ciudad de Mexico). Pour ça, le truc sympa c’est le bus à touristes (et à impériale décapotable) qu’ont croise dans toutes les grandes villes.
Ça permet de repérer les endroits à voir ultérieurement tout en bullant au soleil, cheveux au vent.
L’inconvénient c’est qu’on attrape vite un teint d’anglais en vacances vu qu’on est en plein soleil et qu’on ne le sent pas à cause du vent.
La désormais traditionnelle photo d’avant-départ dans le jardin s’impose :
Et puis on cale le réveil sur 6h10 (aïe ça pique), on se prépare et en route ! On traverse le jardin des plantes en direction de l’arrêt de tram en passant entre les quelques gouttes de pluie matinales (je ne suis pas sûr, mais les gouttes ET la pluie ça mérite bien un “s” à matinales, non ?).